Accueillie comme celle de tous les espoirs pour les Burkinabè, l’année 2016 risques d’être finalement perçue comme une année perdue. Au sortir de la Transition difficile avec tous les soubresauts politico-militaires qui ont failli plonger le pays dans le chaos, les Burkinabè étaient en droit d’espérer voir se frayer devant eux, à défaut d’un boulevard, au moins des pistes pouvant les conduire vers l’horizon du bonheur. Les élections présidentielles et législatives du 29 novembre 2015 devaient permettre la mise en place d’un pouvoir véritablement démocratique et plus en phase avec les aspirations du peuple insurgé qui avait chassé Blaise Compaoré du pouvoir un an plus tôt.
Vivement que 2017 soit l’année de la Justice !
Par: Le Reporter
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