Il y a d’abord, la parole, le discours. Quand les armes commencent à crépiter, cela a été préparé par les discours ; petit à petit, puis l’escalade. Dans la logique où, il est de plus en plus dit que ceux qui attaquent le Burkina Faso sont des Burkinabè, il sied de penser véritablement tous les moyens…
Le discours doit être pourtant rassembleur
Par: Aimé Kobo NABALOUM
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