Depuis le départ de son père fondateur avec l’insurrection populaire d’octobre 2014, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), pris comme dans un tourbillon, a fini par tomber en transe. Tel un cabri qui se défend après la dernière tracée du couteau, il se débat, souffre dans sa chair mais refuse de s’en…
Il faut que le CDP accepte de mourir
Par: Aimé Kobo NABALOUM
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