Avec la disparition de Salifou Diallo, le Président Roch Marc Christian Kaboré perd, certes, un solide soutien mais se libère d’une alliance trop pesante. Désormais, presque seul maître à bord, le président tient une opportunité inespérée d’imprimer enfin sa marque à la marche de son pays. Y parviendra-t-il ? Nous vous proposons ici, une tribune signée du journaliste Boureima Salouka, qui publie, chaque mois, sur le site www.presimetre.bf , une note conjoncturelle sur la gouvernance du pouvoir Kaboré.
Appelez-moi Président Roch !
Par: Le Reporter
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