La mort rode partout, irrésistible. Les murs d’un centre pénitencier comme la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO) ne sont pas assez hauts pour l’arrêter. Elle peut frapper à la porte de la cellule de n’importe quel détenu : condamnés, certains à des peines plus ou moins légères ou de courte durée, et d’autres, à des…
MACO : Des malades et des défunts abandonnés par leurs familles
Par: Aimé Kobo NABALOUM
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